Ah... les pommes!

Comment à ses habitudes, Jean, seul au monde, habiller de noir, la peau blanche comme un dras tout frais sortie de la laveuse, semblait se diriger vers les cuisines...

À mais que dis-je! Il ne semblait pas si diriger, il s'y dirigeait!
Tien donc... alors il connaissait le chemin de la cuisines ? Hey bah... on se demande pas se qu'il fou la nuit...

Enfin, il était arriver devant le portrait de la coupe de fruit, chatouillent la poire, il entendit un charmant rire qui passait par l'une de ses oreilles pour sortire par l'autre.

Ses mains squelettiques repliées sur elles même, comme les sers d'un oiseau encore inutile, il entra, le dos un peu courbé... la tête en avant, regardent autour de lui comme un chien aux aguets.
Puis fini par se remettre le dos droit, après avoir évaluer l'endroit, les mains dans les poches, grandes poches, il se dirigea vers un panier de pomme, rouge, belle, ronde, et sans doute succulentes, chose qu'il se fit une joie de vérifier.

Ne vous détrompez pas, à pars ses mains, son manque de conversation et son insocialisme, Jean était un garçon comme les autres, avec les même besoins et tout se qui est relier à l'adolescence, généralement, dans son cas... du moin.
Mais pour l'instant, son principal envie était de manger toutes les pommes qu'il pourrait chiper, tellement celle qu'il venait de croquer était bonne.

Son corbeau était dans la voilière, fessait connaissance avec ses, eh... compatriotes de métier...
Les lèvres rougies par le froid et le jue de pomme, il tenait entre deux doigts, un trognons roger jusqu'au os...

Passent une mains dans ses cheveux pour les enlevers de son visage, il l'ença d'un jeste précie le trognion dans un feu, sans doute allumer pour la cuison d'un quelconque aliment...

J-p suivit la jeune femme des yeux.
Croquent dans une deuxième pomme, les jambes croisés, un coude sur la table.

Ses bracelets en pic, toujours un peu trop large pour ses poignets, étaient monter un peu plus haut sur ses bras, même si certains glissaient.
Il ne put s'empêcher de penser à ses poupées... car la jeune femme lui faisait pensée à elles.

Étrange quand même, il aurait bien l'avoir en porcelaine, ce model... au lieu de ça, s'était en chair et en os... malheure.

Soupirent, il rapporta son regard à sa pomme, qu'il croqua de nouveau, tournent le bou de pomme quelque seconde avec ses lèvres pour finalements le faire disparaitre dans sa bouche.

Son regard s'était fait lunatique, comme d'habitude quand il lui venait à l'esprit l'image de ses poupées, de ses centaines de poupées dans le manoir à son père...

Il se rapelle quand il avait du choisir pour en amener dix maximuns... oh...
Se fut difficil...

Il frisonna inexplicablement à l'approche de la jeune femme.

Jettent un coup d'oeil à sa main dénuder qui venait d'un jeste sec et précit de prendre une pomme...

Puis, il fit comme ci de rien n'était, elle ne lui parlait pas, il en parlait pas, s'était parfait, rien ne pourrait arriver, n'y chicane n'y autre scène
pathétique du comportement humain.

Un peu comme avec ses poupées quoi....

Sourient à peine avec cette pensé, il croqua une autre foit, plus lentement, alors que ses dents gelés délicattement à cause de la froideur de la chaire, il prit le temps de receuillir le jus légèrement acide du fruit, sur sa langue.
Sans un bruit, penchant la tête par en arrière, il laissa le liquide couler jusque dans sa gorge, laissent juste la loie de la gravité faire son travail.
Une foit fait, il arracha la chaire et la plur...

Étrangement vorace, comparé à ses habitudes calme.
L'idée que se soit la jeune femme qui le rende ainsi lui parut absurde, aucune femme n'y même homme ne l'Avait fait changer de comportement.
Se n'était pas aujourd'hui que ça allait commencer...

(Wooooooooooooooooo minute! Tu vois dans la tête des gens? Bah, heureusement que Jean soit pas un pervers...[o.0)

Ses cheveux lui proquait la vue sur la fille.
Bien qu'il soit déçu de se fait, il gardait une image mental d'elle, mais avec des traits plus froid, sans vie, comme de la porcelaine...

Froncent les sourcils tout en machouillent son morceau, ses yeux perdents peu à peu le Nord alors qu'il s'enfouçait de plus en plus dans son monde, il fini par se réveiller d'un coup.

Soupirent d'un air lasse, sans vraiment laisser savoir le pourquoi du comment, il baissa la tête, la penchant légèrement sur la gauche, prenant une autre bouché, tournent la pomme sur un endroit encore intacte.

Se lichent les lèvres à cause du jue, révellent une langue pointu, il s'aperçu que celles-ci étaient rendu un peu froide, tiède, dirait-on.

Une pomme dans la main, l'autre mettent ses cheveux noirs qui lui pendait dans le visage derrières son oreille, c'est ainsi qu'il croisa le regard de la jeune femme.
Aussi tôt, il eut l'impression qu'un glaçon glissait sur sa colonne vertébrale, sa respiration devin d'un coup un peu moin voyente... ses grand yeux, incapable de se détourné de ceux à de la jeune femme, semblait noyer l'image de la fille dans leurs bleu pâle.

hj: lol Nan, je ne "vois pas dans la tête des gens", mais je me débrouille en légilimancie... alors un coup ça fonctionne, l'autre pas.

dj:
Celinia calma un embryon de hurlement qui s'était formé au creux de sa tête. D'un geste nonchalant et distrait, elle se passa une main dans les cheveux, soutenant le regard du jeune homme en face d'elle. Elle fronça légèrement les sourcils, incapable de comprendre le regard de l'autre. Destabilisée, elle lâcha ses yeux.

D'un coup de dents acéré, elle croqua dans la pomme, se soûlant du jus qui lui coulait le long de la gorge. Toujours en tailleur sur sa chaise, elle décrocha sa cape et la posa à côté d'elle.
Elle reposa alors son menton sur sa main, le regard concentré sur la chair brillante de la pomme. Elle soupira, lassement.
Alors ses yeux vinrent se reposer sur le jeune homme. Elle l'observait par en-dessous. Elle prit une morse de pomme, essuya le jus qui coulait lassivement sur ses lèvres.
L'autre faisait résonner en elle chacun de ses battements de coeur. Mais rien sur son visage n'y laissait paraître.

En une fraction de seconde, elle se dessina une voix calme.

Il me semble t'avoir croisé dans la salle commune de Serpentard l'autre nuit... Mh, tu t'appelles comment?

(Ah! mdr)

Il ne se rendit pas tout de suite compte qu'elle lui parlait.
Mais quand ce fut le cas, il sut que le silence était trop beau pour ne pas se faire voler, quoiqu'il en soit, il fit un effort pour répondre.
Mais encore et toujours, ça va résonnait comme une corneille écorché...

"Jean-Pierre DesGoules..."

Il détourna le regard, rapportent son attention sur sa pomme, la mordillent, jettent un coup d'oeil à la jeune fille, mais fuyent vite le regard de celle-ci.
Il resemblant à un enfant prit en faute qui essait de se faire oublier.

Les regardents par en bas, ses cils un peu trop long pour être masculin, semlait faire un épouventail désordonné, comme plein de tige de rose entre-mêlés.
Respirent un bon coup, il remonta une jambe contre lui, l'autre toujours dans le vide.

En fait, on aurait put prendre son attitude pour de la timiditée, et s'était pas une mauvaise impression...
Il menquait juste les rougeurs...

Il fini sa pomme après deux minutes de grignotage...
Il la trouvait, selon ses critères, plutôt bien pour une humaine.

S'était peut être à cause de son attitude, du fait qu'elle ne cherchait pas à lui arracher les mots de la bouche, qu'elle ne meublait pas le silence de paroles inutils... mais Jean lui jetta un autre coup d'oeil, plus contrôlé que la dernière foit, plus calme.

Contrairement aux jeune femmes que ses parents lui présentaient pour savoir la qu'elle il allait choisir, Celinia rentra dans une place de son esprit ou il était rare de voir autre chose que ses poupées.
L'aile du manoir réservé exclusivement pour ses poupées...

Et, entre vous et moi, c'est beaucoup, vous ne croyez pas?

Jean, comme sité plus haut, voyait la jeune fille au milieu de ses poupées, habillée de noirs, la première couleur qu'il avait vue sur elle, et gentilment en train de faire la statue...

Ne croyez pas qu'il allait la tuer pour l'empaille, non, il en serait incapable...

Attention! Mais voilà que dans la tête de Jean, la jeune fille bouge... eh... enfait... ne fait qu'apparaitre une pomme dans ses mains, qu'elle regard avant de lever des yeux en verres sur lui...

Il lui semblait que, là comme ça, la journée commençait drôlement bien!
Même qu'il sourit presque à Celinia.

Mais avant de prendre le verre, il jetta le deuxième trognion de pomme dans le même feu que l'autre, répendant dans l'air, une odeur de pomme mélanger à celle du grillé....

S't'est étrange... mais pas désagréable.

Alors, il avança sa main vers le verre, mi-regardent la jeune fille, on est timide ou on l'est pas, mi regardent la table.
Ses bracelets à piques frola la table, lancent un son de griffage discret.

Interieurement, il se demandait comment elle allait réagir à voir ça main avec autant de précision, d'habitude, les personnes, généralements les femmes, avaient un mouvement de reculs, de dégout, à cette vision.

Ainsi donc, regardent plus la jeune femme, la curiosité prenant le dessu sur sa timiditée, il entendit sa réaction.
Mais ne se priva pas de ramener vite fait le verre à ses lèvres, buvant lentement l'eau froide.

Froide comme la jeune femme, comme ses mouvements, comme la couleur de sa peau...
Comment la porcelaine.

Et voilà qu'on était repartie pour un tour de dans l'imagination de se chèr Jean-Pierre...
Puis il se rapella quelque chose.
Au sur, il hésita, mais fini par pausser la question, curieux qu'il était :

"Et ton nom?"

Bon dieu qu'il n'aimait pas sa voix à cette instant précit, d'ailleur, ça se vie, il grimaça légèrement, détournent ses yeux de la jeune femme.
Comme si il s'excusait silencieusement d'avoir une voix plus acceuillente.

Il était décidément trop tôt pour trop sourire, décida-t-elle.
Pourtant, la timidité du jeune l'homme la rendait curieuse. Et ses yeux, et sa peau.
Sentant la main de l'autre se rapprocher, elle eut soudain un brusque mouvement de recul. Elle le fixa de façon glaciale. Prête à bondir qu'elle était. On aurait dit un chat surpris en plein sommeil, prêt à griffer.

"Du calme, Celi... Tout doux..."

Elle respirait plus vite. Sous sa robe légère, on voyait sa poitrine se soulever. Petit à petit, elle se redessina un visage paisible.
Changeant de position, elle ramena un genou contre elle et posa son coude sur la table. Lentement, elle but. Comme une assoiffée.
Refroidir le mélange d'émotions qui bouillaient en elle.

Elle lui sourit, le regard dans le vague du verre qu'elle regardait à la lueur du feu. Ses doigts resserrés sur l'objet semblaient. Sur le point et l'envie de le briser.

Elle se débrouilla cependant pour répondre d'une voix plutôt douce.

Celinia Bhru... Celinia.

Elle n'aimait pas dire son nom en entier. Ca avait une sorte de nuance administrative qu'elle voulait éviter.

Les yeux brillants, elle décida que la voix du jeune homme était juste comme il faut. Qu'elle ne parlait pas de travers. Et que les nuances froides la charmaient.

Il ocha la tête, mais fronça légèrement les sourcils quand elle bafouilla, selon lui, sur son nom de famille.

Le mouvement de recul de la jeune femme fut d'une t-elle discretion, que le visage de Jean se fit un peu plus sombre, mais l'habitude de cette réaction le rendait de plus en plus insensible, c'est pourquoi il ne semblait pas triste le moin du monde.

Il ne fit que disparaitre sa main libre du champ de vision de la Celinia, alors que l'autre tenait le verre deux avec une étrange délicatesse, comme ci, malgré l'impression de soliditée du verre, il sentait la fragilitée de l'objet.

Dans sa tête, dans son petit coin de paradi, que les images se firent brumeuse quelques secondes, comme si il ne voulait pas se laisser emporter par un simple sentiment de petit désespoir.

La tête basse, le regard perdu, le verre pausser sur la table avec la main l'entourent, ses yeux passa furtivement sur le visage de la jeune femme, sachent très bien qu'elle essayait de ne pas dire quelque chose ou simplement partir...

Il tourna la tête vers la droite, laissent ses cheveux lui cachers le visage, alors qu'un muscle de sa mahcoir tressallit.
Soupirent, il leva lentement sa main dans les airs, devant sa face, la regardent.

Il la faisait lentement tournoyé sur elle même, bougent ses doigts.
Le dos de la main vers le ciel, il écarta les doigts d'un coup, juste après les avoirs rapporchés lentement.

Elle suivit avec lui les mouvements de sa main. Elle la trouvait incroyablement belle... La blancheur des phalanges, prêtes à se briser, mais sans doute capables de tordre un cou.
Elle ne voyait plus son visage. Elle n'arrivait qu'à deviner le simili sourire sur ses lèvres, et ses sourcils froncés, concentrés sur les gestes nets et précis de sa patte.
Le tout dégageait un sentiment glacé, mais touchant à la fois. C'était comme. Regarder la neige tomber.

Elle leva alors les yeux sur la vieille horloge de la salle. Onze heures. Elle soupira. En un instant, elle s'était rassise, les jambes croisées sous la table. Elle saisit le verre d'absinthe avec une vive rapidité. Sans dire un mot, le regard vague, elle avala le liquide d'une traite. En elle, ça réchauffe. Aucun signe d'une quelconque chaleur sur sa peau blanche. En elle, ça se calme et ça hurle de colère.

D'une main, elle reprend son écharpe. Elle enroule les lourdes mailles blanches autour de son cou, elle ressemble à une pendue.

Amèrement, elle se releva. Elle balança sa cape noire sur ses épaules. Elle observa un instant le jeune homme, ses yeux noirs fixes, et agités à la fois. Elle posa le verre sur la table avec force, mais aucun son ne se fit entendre.

Alors, elle se glisse de l'autre côté de la table. Pour sortir. Dans cinq minutes, cours au cinquième, ou au quatrième, elle ne sait pas encore très bien.
Elle se balança jusqu'à lui, obligée pour traverser la salle. Elle se façonna un visage tranquille, elle teinte sa voix.

Contente de t'avoir rencontré. J'espère qu'on se recroisera à l'occasion.

Elle sourit, ça paraissait presque chaleureux sous ses lèvres glaciales.
Puis elle sortit, claquant des bottes sur les dalles de la salle.

"Ne te retourne pas, ne te retourne pas, ne te retourne pas, surtout, Celi..."

Jean la suivit des yeux, comment un chien suivant un chat, immobile et calculateur.
Ses yeux bleu, encore une foit, teinté d'innocence, n'avait aucune idée de l'émotion qu'ils exprimaient à l'instant même.

Peut être était-il déçu que le peu de joie qu'il avait ressentie en voyent la jeune fille parte avec elle, mais une chose est sur, il la reverrait.

Remontent son autre jambe à lui, il fut tenté de lui demander pourquoi elle partait, mais elle approchait à une vitesse alarmante, selon lui, vers la porte.
En fait, trop vite pour qu'il se décide à lui demander, s'était ça, le seul problème.

Baissent les yeux, il ne porta aucune attention au verre d'absinthe, ne sachent même pas quand était ses cours, il ne souspenait donc pas que se fut pour cette raison.
Il croyait juste qu'elle agissait comme les autres filles, après avoir rester asser longtemps par politesse, elles partaient, aillent hâte de ne plus voir ses mains de Détraqueur.

Avalant, il revoyait dans sa tête, la jeune femme lui tendant une pomme, alors qu'un vague sourire se dessinit sur ses lèvres froide et sans vie, sans qu'il ne s'en aperçoivent.
Mais aussi dans l'inconsience de sa réflection, sa tête s'était pencher un peu sur le côté.

Encore une foit, il allait se retrouver seul, avec lui même, et devrait attende que quelqu'un le face retourner à la réallitée...

Pourtent, la vision de la jeune fille le laissait n'y chaud, n'y froid.
Son attitude, même si il se basait sur des comportements précis, n'était pas comme les autres qu'il avait eut vaguement connaissances...

En fait, dans la réallitée d'un garçon plus simple que Jean, il s'aurait facilement dit que la jeune fille lui plaisait bien, mais pour un garçon comme Jean, s'était une chose qu'il ne connaissait pas, le fait d'avoir quelqu'un qui lui plaisait bien, mit à pars ses poupées, lui était un consepte tout nouveau...

Jean-Pierre DesGoules, fut au moment même où la poupée apparaisait, completement désarsoné.
Les yeux grand ouverts sur la fille de procelaine, il ne réussit à reprandre le contrôle de son corps que quand la présence de Celinia ne fut plus à sa porté.

Alors, soulevant sa main droite, il prit la poupée par le corps de celle-ci.
L'amenent lentement à lui, il sourit, s'était comme si son coeur explosait dans sa poitrine...

Enfin, pour un adolescent normal...

Car J-P réagit de manière plutôt froide... mais terriblement vivace pour lui.
Il se leva alors, déplient une jambe à la foit, tenant la poupée par l'une de ses petites mains.
Autour de lui, tout était calme, le feu crépitait doucement, les pommes étaient toujours aussi belle et rouge, les elfes de maisons commençait à se faire plus présent.

Et se fut pour lui le signial qu'il devait partir.
Trop étrangement secouer pour ne seraisse que faire du bruit ou regarder où il pilait, bien qu'il se dirigea vers la sortie, il prit consience trop tard que la jeune fille avait eut l'air de regretter son jeste.

Mais se fait ne lui fit rien, on ne revenait pas en arrière, il s'avait maintenant qu'il allait peut être avoir quelqu'un avec qui partager ses passions... peut être.

Car malgré tout joyeux emballement, Jean savait bien qu'il y avait toujours un petit quelque chose qui ne marche pas comme on le veut.

Sortent de la cuisine, la poupée dans les mains, il baissa la tête et se dirigea vers la salle commune...