À l'ombre des anges.

Oh... il faisait froid dans cette endroit.
Même la lumière du matin n'Arrivait pas à réchauffer les pierres glacers, les arbres qui gardaient l'entré avait perdu leurs feuilles, le vent les avaient prit et avait poudrée le sol de la chapelle, elles avaient eut le temps de mourire des milliers de fois, ces feuilles couvertes de givre...

Les pas silencieux des morts fouettaient ses oreilles et leurs murmures lui transperçaient la peau, ses yeux étaient grand ouvert, voyent chaque mouvement dans l'air, chaques petit fourmillement qui venait troubler la clartée de l'air.

Les feuilles éparpillés par terre frisonnaient sous le souffle de l'un deux, les chandels, désespérément éteinte, semblaient rire de lui et répendre sans flame une boule de lumière qui venait flotter à quelque centimètre de son visage pour ensuite mourire dans le rire angoissent d'une personne qui avait mille fois eut peur.

Dans un ancien confessional, proche de l'hôtel, Jean s'était enfermé là, ses grandes mains refermé sur le colier décoré d'oeil de poupée, son visage était lisse comme tout, mais pas parce qu'il se sentait bien, non, parce qu'il n'avait pas d'autre expression pour montrer se qu'il resentait...

Il frisonna, de la neige avait rentrer par les fenêtres pour se dépaussers un peu partout dans le chapelle.
Les anges, perchés dans une parfaite simétrie sur des colonnes qui montait vers le plafond, lui donnait l'impression d'être observé sous tous les angles, il n'aimait pas se faire observé, il n'aimait pas ses petits anges.

Il aurait voulue partir, mais il n'osait ouvrire la porte pour tomber face à face avec une des pairs de yeux de l'un des angelôts.
Accôtent sa tête contre la grille du confessional, il ferma les yeux, laissent ses cheveux tombers pour lui cacher la moitier du visage, lui donnent une impression de vulnérabilitée.

Laetizia Axelle d'une humeur assez étrange ce jour là, humeur sans doute dû à la neige qu'elle trouvait plus que sinistre entra dans cette chappelle qui ne semblait pas vraiment dédié aux vivant ni aux dieux, sans doute un jour l'avait elle été mais ne l'était elle plus...

En avançant dans le pénombre glacée du lieu elle eu un petit sourire, ce genre d'endroit l'avait toujours attirée elle la petite fille si sage, ou du moins d'aparence, en tout cas ce jour là elle n'avait ni l'apparence ni le comportement d'une gamine sage, sa robe d'un noir profond ne cachait pas grand chose malgré le froid mais une cape bien plus longue que la normale cachait tout ça, ses cheveux d'ebenne encadrait un maquillage aussi profondement noir que ses vêtement, son teint pale de blonde naturelle lui donnait l'air ou tout du moins l'éphémère apparence d'un spectre dehanbulant entre les banc du lieu autrefois surement saint...

observant l'endroit elle remarqua un vieu confessional aux portes closes qu'elle se promis de visité par la suite, elle dehambulait entre les banc blanchis par la poussière et la neige immaginant les gens qui s'etait assis là et les esprit qui sans doutes encore y étaient... s'approchant de l'hotel elle s'agenouillat sur le prie dieu avec une petite mimique plutot commique, elle respectait dieu et croyait en son existence en une certaine mesure mais elle trouvait affligeant de devoir s'agenouiller pour lui parler ne pouvait on respecter quelqu'un debout ??

enfin bref elle dit tout de même pour se faire pardonner quelques ave maria puis se leva, contourna l'hotel et eclata de rire en decouvrant une vieille coupe de vin de messe encore en partie pleine il fallait croire que la ceremonie n'avait pas tourner comme le pretre le souhaitait sans doute un exorcisme raté ou quelque chose dans ce genre là, continuant son exploration elle se dirigea vers le confessional puis s'arreta à quelque metre de cette sorte de boite en bois qui etait censée contenir un homme de dieu toujours près à vous aider et à confesser vos pecher et à les absoudres elle hesita un instant à ouvrir la porte .... et si tout s'ecroulait sur elle ? elle se sentait un peu bete car en fait c'etait surtout la peur de voir un pretre sortir de là et lui dire qu'elle n'etait qu'une pecheresse qui la faisait hésité .... à croire qu'elle n'assumait toujours pas les personnes dont elle tombait amoureuse, elle ouvrit donc la porte et les yeux fermés alla s'asseoir, puis entendant la respiration de quelqu'un elle sursauta et ouvrit les yeux regardant à traver le grillage du confessionnal elle faillit partir en courant comme une furie puis elle remarqua que la personne n'avait rien d'un pretre et que c'etait plutot un élève de l'école ....à en croire la couleur verte qui lui parvenait il s'agissait apparement d'un serpentard ...

que fais tu ici ? si je ne me trompe pas tu es un serpentard ?

tout en attendant la reponse du garçon à l'air assez étrange elle detailla le peu qu'elle voyait à travers la grille, il avait l'air vulnérable mais degageait quelque chose d'assez ........ effrayant ? non pas effrayant étrange plutot en tout cas pour elle, elle n'avait pas l'impression de l'avoir deja rencontré et se dit qu'il ne devait pas très souvent trainé dans les couloirs de l'école

C’était encore calme quand le bruit des feuilles que l’on foule était venu prendre part à tout le reste. D’abord, il avait crue que s’était juste un autre mort qui voulait le faire dégager de là… à vrai dire, il n’avait pas vraiment pensé à ça… il ne pensait jamais vraiment, mais imaginait énormément.

Alors, dans son immobilité, il suivait d’instinct le bruit des pas qui se rapprochaient, les yeux bleus intensément fixer sur la porte qui le cachait, certain, que d’une façon ou d’une autre, celle-ci s’ouvrirait sur une apparition qui l’autre pétrifier sur place…
Parlons-en de la porte, elle était vieille… comme tout ce qui se trouvait dans cette endroit (ehm… ) mais dégageait plus qu’autre chose une odeur de bois moisie, lentement emporter par les lois de la nature. Il y avait des petites scènes religieuse sculptée dedans, mais rien que Jean ne regarda vraiment, sinon la grande croix, avec en son milieux, un homme pas si vieux, avec une légère barbe, et qui semblait triste et amère, ses yeux ressortent de son visage comme pour montrer à chaque prête qui venait confesser une personne que son regard ardent de lumière surveillait chaque geste et parole de son serviteur… Un espèce de rappelle à l’ordre qui ne servait plus depuis longtemps. Malheureusement, lui, Jean, n’aimait pas que les yeux de l’homme soient fixés sur lui. Qui qu’il soit, il ne se gêna pas pour, légèrement, de ses ongles, sans faire de bruit, gratter doucement. Pencher par en avant, son visage était complètement ou presque cacher par ses cheveux, mais le reste de son bras, dénuder du fait qu’il portait un chandail donc les manches n’allait pas plus que son épaule… Mais juste du côté droit, la manche du côté gauche arrêtait au coude, laissent son avant bras visible. (Voir le pourquoi du comment dans particularité : https://the-mystic-hogwarts.forumsrpg.com/viewtopic.forum?t=2362&highlight=jean+pierre+desgoule )

Il avait presque oublié la présence, mais un grand rire, qui le fit sursauter sèchement, lui cassa un ongle et le rendit complètement muet. Encore une fois, clignent une fois des yeux, il toucha du bout des doigts son collier, alors que son autre main venait instinctivement prendre son bras à la auteur du poignet, ses bracelets aillent descendu quelques étages. Sa cape à au couleur de Serpentard ne cachait ses épaules, et le reste de la cape était envoyé en arrière, reposent à même le banc.

Le rire s’arrêta doucement, chose qu’il ne remarqua même pas, perdu dans sa tête et donc, dans un grand marais d’image incompréhensible, son visage complètement dégager, cette fois.

Encore des pas, puis, oh non ; le bruit d’une porte que l’on ouvre!!! Se repliant autant que le banc lui permettait sur lui-même, il garda les yeux levers vers la petite grille, s'apprêtent à voir quelque chose de…

Son esprit se calma légèrement, la vision de la jeune femme l’ayant attiré d’un coup. S’était simple, il tenait fermement à ne pas avoir de contacte avec le monde… Il soupira, mais ne changea pas de place pour autant, curieux, malgré lui, de savoir ce qu’un autre être, à pars lui-même, pouvait faire dans un endroit pareille.

Ses yeux particulièrement écarquiller, semblaient vouloir simplement sortir de leurs orbites, mais l’expression partie lentement, à mesure qu’il voyait de mieux en mieux la jeune femme…

Ses bras entouraient l’une de ses jambes, alors que l’autre touchait de son pied le sol, lui donnant une allure drôlement décontracter, chose insolite vu l’était crisper de ses muscles.

Elle lui pausa deux questions, mais il ne répondit pas, continuent d'observer...

Tizia haussa les épaules en voyant que le jeune hommene lui repondait pas .. il etait étrange tout de même quoique qui etait elle elle pour juger, franchement on fait beaucoup plus normal qu'elle même si on fait bien plus bizarre, continaunt à regarder l'autre elle ne bougea pas d'un pouce et ne prononça pas d'autre mot ... bizarrement elle avait l'impression que des bribes de mots lui parvenait mais d'où ça elle n'aurait surment pû le dire ce qui etait sûr c'est que ça ne venait pas du jeune homme qui avait decidement la bouche on ne peut plus close, elle se dit que ça devait venir d'un animal au dehors ou peut etre des esprit présent ici qui sait elle devenait peut etre médium en plus de tout ce qu'elle etait déjà, elle en avait déjà la folie ^^

en ayant marre au bout d'un moment d'attendre une réponse du jeune homme meme si elle n'etait pas vraiment sûr d'attendre une réponse en effet elle se mit detailler les "murs" du confessional sur chacun des murs de cette "boite en bois" se trouavaient des scènes religieuse ... sur l'un des pans de bois les portes de l'enfer où l'ont voyait les damnés se diriger trainant le pas, sur l'autre les portes du paradis dont les accueillants semblait plein d'allegresse et enfin sur la porte du confessional la scene de la crucifiction elle observa un long moment Jésus sur sa croix et dit à voix basse

et qu'as-tu donc tiré de toute cette souffrance pauvre petit pantin?

elle secoua la tête et s'appuyant contre le panneau derrière elle elle continua de le fixer regardant son regard tellement fixe ...

quelle annerie de mourrir par la main d'un soldat après avoir souffert la crucifiction tout ça pour les hommes

au bout d'un moment lassée de rester sans rien faire Tizia se leva ressortit et retourna vers l'autel farfouillant en dessous elle trouva deux bouteille de vin de messe parfaitement intact elle en ouvrit une sentit le contenu et en but une gorgée puis prise d'une soudaine inspiration

"Je vous salue, Marie pleine de grâces ;

le Seigneur est avec vous.

Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus,

le fruit de vos entrailles, est béni, ce vin aussi .

Sainte Marie, Mère de Dieu,

priez pour nous pauvres pécheurs,

maintenant et à l'heure de notre mort, surtout si on est destiné aux enfers.

Votre vin est très bon Amen."

puis elle eclata de rire mais se signa pour laver l'affront, elle avait vraiment un comportement des plus irrespectueux ce soir... elle s'assit quelques instant sur un banc et but une ou deux gorgée... puis elle se redirigea vers le confessionnal moisi elle ouvrit la porte mais cette fois ci c'etait celle du coté du garçon ... elle n'entra pas elle deposa la seconde bouteille (celle qui n'est pas ouverte) à l'interrieur et referma la porte elle s'etait dit que peut etre le garçon apprecierai elle etait pas du genre à pas partager ses trouvailles mais bon comme il avait pas l'air très sociable elle avait penser qu'il n'apàprecierai pas de boir à la même bouteille qu'elle et encore moins en sa compagnie . Elle retourna donc s'asseoir sur un banc

(j'espère que ma petite modif du "je vous salue marie" n'a choqué personne c'etait pas le but)

Jean resta encore un peu dans le confessionnal, écoutant la jeune femme dire une prière qu’il connaissait bien, mais qui n’avait jamais crut. Ses parents la disaient souvent, à chaque Dimanche, d’ailleurs, il ne s’était jamais demander pourquoi… Il faisait juste ce qu’on lui demandait de faire, dans se temps là.

Bref, après deux minutes d’immobilité, il sortie enfin, alors que la jeune femme changeait légèrement les paroles de : Je vous salut Marie, et que juste après, dans un fou rire, elle ne boive dans une coupe à l’air particulièrement riche… Encore une fois, ses yeux capturèrent asser bien la scène et la transforme dans une sorte de scène qu’il arrivait à comprendre.

D’une voix plutôt hésitante, son corps encore à moitier dans le confessionnal, il répondit enfin à ses questions :

« Je suis à Serpentard… »

Sa voix était toujours aussi faiblarde, un tantinet homme des cavernes du fait qu’il ne l’utilisait presque jamais, mais il continua quand même, conscient de l’effets qu’il produisait à chaque fois qu’il parlait, alors que ses mains pendaient de chaque côté de son corps.

« Et je suis venu ici parce que j’entend…. »

Quelle phrase absurde… Prenant son collier fait d’œil de poupée entre ses longs doigts, il baissa les yeux, se demandant à chaque fois ce que la jeune femme pensait, alors que doucement, l’image des petits angelots qui regardaient ce qui se passait de leurs yeux vides fit surface dans sa tête.

Malgré qu’il ne ressente pas vraiment le froid, il frissonna en leva la tête, dévoilant son visage, jusqu’ici caché par ses cheveux, et ses grands yeux, ressemblant à deux puits remplie d’eau d’une limpidité presque transparente.

Avec un air d’incompréhension, la main droite à moitié dans l’une de ses poches et l’autre toujours agrippée à son collier, il laissa un long… long… long soupire traversé ses lèvres et répandre de la fumée dans l’air.

Mais il fini par cligner des yeux et ramener son regard sur la jeune femme.

« Et toi? »

Reprit-il, plus dans un murmure qu’autre chose, cette fois ci…

Lorsque Laetizia ententdit un petit grincement venant du confessional elle eu un petit sourire sans se retourner ... la souris sortait enfin de son trou ... bizarre non normalement la souris n'est elle pas associé à la fille ? pourquoi ce garçon la faisait il penser à une souris se cachant et attendant son moment pour surgir? lorsqu'elle l'entendit parler pour lui dire qu'il etait à serpentard elle se retourna enfin vers l'endrois qu'elle avait quittée

serdaigle pour ma part

elle se doutait qu'il n'en avait cure mais bon autant se présenter meme si elle ne disait pas son nom au moins il pouvais imaginer, mais alors seulement immaginer, le genre de personne qu'elle etait en sachant de qu'elle maison elle etait, elle eu de nouveau un petit sourire mais cette fois ci face au jeune homme... quand il commença sa phrase sur pourquoi il etait là elle trouva dommage qu'il ne continue pas mais n'insista pas sur le moment si il ne voulait pas le dire se n'etait pas un drame, quand vint la question de pourquoi elle même se trouavit là elle regarda un peu en l'air, voilà qui etait une bonne question que fichait elle ici si ce n'est se saouler au vin de messe se qui n'etait pas vraiment glorieux, le temps de reflechir à pourquoi elle etait là elle decida que finalement la question de qu'est ce qu'il entendait et qui le poussait à etre là valait la peine

hum tu entends quoi exactement ? tu sais tu peux me le dire moi j'entends bien les pensées et les paroles des animaux donc .....

elle realisa que sans doute encore une fois elle allait passer pour une folle et se decida donc à fermer sa grande gueule d'irlandaise et d'en revenir à pourquoi elle etait là, et elle pensait avoir enfin trouvé pourquoi elle y etait

Pour en revenir à pourquoi je suis ici , je pense que j'ai voulu m'eloigner le plus possible de l'univers trop mielleux que prend l'école ces temps ci et d'un petit secret qui commence à me pesezr plus que necessaire voilà ...