Entre deux étagères...

C’est l’histoire de deux étagères, poussiéreuses, lourde de livre et imposant leur structure de bois, elles semblaient être oublié depuis longtemps.
La matière qu’elle refermait n’aillent, semblait-il, aucune importance pour les élèves de l’école dans le quel elles étaient enfermé.

Avec plusieurs centaines ne livre inactif, elles faisaient la décoration des lieux, la lumière des chandelles les embellissent sans pour autant les rendrent intéressantes, et de plus, la noirceur de l’allée qu’elles partageaient ne faisait que noircir un peu plus à l’approche d’une lueur.
Les yeux plongés dans se noir, l’esprit des gens partaient peu à peu dans un autre monde, le décor partait doucement pour ne former qu’une boule noir, ou parfois, un bruit se faisait entendre sans pour autant réveiller les victimes.

Pourquoi alors, pourquoi une jeune femme après t’en d’année de vieillissement en silence, venait troubler la parfaite inactivité qui habitait cette partie de la bibliothèque?

Mais peu importait à présent, un livre avait était frôlé, un frisson parcouru le reste des bouquins, qu’elle ancienne sensation que de se faire toucher, et peut être, avec un peu de chance, la femme ouvrirait-elle l’un d’entre eut pour parcourir en parcourir les pages.
De la poussière tomba un peu alors que les livres gesticulaient dans un silence religieux, essayent de se faire les plus beaux possibles, question d’avoir une chance…

Il ne faisait pas spécialement noir dans la bibliothèque, les chandelles tenaient le coup mais ne résistait pas toujours à une bonne couler de sire, question ne montrer qu’elles étaient là pas simplement pour le décor, mais aussi pour que quelqu’un vienne lire à leurs lueurs.

Les élèves quittaient lentement la salle, étant donner que le couvre feu ne serait tarder, chuchotent plus par habitude que parce qu’il y avait une personne au comptoir de réception.

Voilà que les seules personnes qui restaient alors était la jeune femme et deux personnes téméraires un peu plus loin.
Mais revenons à la jeune femme, habiller d’un chandail à manche longue noir, avec un corsage par-dessus noir et simple, de pantalon orange avec plusieurs poches et d’une jupe noir venant remettre le tout en ordre… Mais ça s’était en dessous de sa cape, car, il faut le dire, il ne faisait pas chaud, à l’intérieur du château.

Donc, une cape et des gants vert sombre plus tard, un livre se retrouva dans les délicates mains de la demoiselle.
Petit et trapue, un rouge sang recouvrait la couverture du livret, en l’ouvrent, on découvrait une écriture soigner.
Tout était à la main.

De la buée sortie de la bouche de la jeune femme tendit qu’elle lisait, debout et seule dans l’allée, la cape la cachent complètement ou presque.

Ardael qui discuttait avec un autre mec de serpentard un peu plus loin avait vu rose distraitement, mais la sur le moment il lui avait importé de finir ce mausit devoir de potion avec ce type avec lequel il avait été placé en binome. Ce type était inconsistant... dire que ça faisait sept ans qu'il était la et iol ne l'avait jamais ouvert devant ardael... Ce dernier d'ailleurs avait une pose des plus ennuyée. : a moitié allongé sur la table la main callé dans la paume de sa main droite, il tenait distraitement sa plume dans la main gauche et faisait des petites spirales sur son parchemin. Vivement qu'il ai finit de parler ce clampin... C'est d'un ininteressant.... Surtout qu'ardael avait presque finit sa partie... Il griffonna quelques phrases rapidement et decreta que cela suffirait... Il adressa un regard fatigué a l'autre et lui tendit son parchemin....

"tiens mec... ma partie... bon courage pour la tienne..."

Puis il se leva... Les chansdelles avaient bien brulées et la lumiere jaune et tamisée qu'elle produisaient donner un petit air sepia a la bibliotheque... Laissant son sac sur la table il alla retrouver rose...

Il s'accota a l'etagere dans laquelle rose avait pris un bouquin et il observa la scene, les bras croisé, un sourire aux levres... Ne disant rien... ne bougeant pas... Observant seulement...

Les mains de Rose, tremblotantes, tournèrent la page d’un geste lent, comme si la crainte de voir la suite et le plaisir qu’elle prenait à lire se mélangeait.
Ses yeux allaient et venait sur les lignes alors qu’un sourire se formait, à moitié hilare,
mais discret.

Les étagères regardaient la jeune femme comme ci se fut la plus belle chose au monde, alors que d’un œil plus jaloux, s’était le jeune homme qui venait d’apparaître.
Les bouquins ne voulaient pas que la femme parte, ils voulaient que chacun d’eut se faissent lire, l’un après l’autre, et voir se sourire, pouvoir savoir si les doigts de la dame étaient doux, rugueux, froid, chaud…

C’est d’ailleurs pour cela que l’un des livres, plus pousser par l’étagère sur le quel il tenait que par sa propre volonté, tomba à terre, aux pieds de l’homme, comme si se geste avait été destiner à le faire fuir.

Relevant la tête, surprise, Rose ramena instinctivement le livre contre sa poitrine… pour se décontracter, ses doigts caressent l’ouvrage dans ses mains alors que ses yeux caressaient plutôt les traits du jeune homme.

Un sourire apparut, mince, alors que des yeux d’une couleur accueillante, noisette en fait, détournaient le regard.

Ardael sourit en voyant l'intervention du dit livre... Derisoire tentative se dit il... mis peu importe en fait... Rose le tenait dans ses bras. de l'index de sa main gauche, il effleura la couverture qui frissonna... Etait ce de degout? etait ce comme un animal sous la caresse ? il ne le sut jamais... Il sembla alors a aradel que le livre se cambrait pour mieux epouser le corps de rose... Une illusion d'optique surement... Il posa sa main sur une des planche de l'etagere et les livres a la hauteur de sa main reculerent de quelques milimetres... de façon a peine visible mais trout de me emperceptible... Etrange etagere se dit ardael en jetant un coup d'oeil a ce phenomene inhabitue*... D'habitude, les livres ne le repoussaient pas comme ça... etrange...

Il reporta son attention sur rose... Elle etait tres belle avec sa cape... une sorte de vision un peu surnaturelle... Voila pourquoi les livres devaient le repousser... il devait les gener... bah... peu importe...

Mais au fait, il n'"avait jamais vu ça avant... dans quelle etagere se trouvaient ils donc?

Rose avait suivit le tout avec curiosité.
Alors que le livre qu’elle tenait s’était presque jeter dans sa main, les autres semblaient fuir comme la peste, était-ce à cause d’Ardael, ou simplement une question de goût douteux pour les lecteurs?

Ses yeux quittèrent les livres pour s’occuper de celui qu’elle tenait, passent le signet blanc intégré dans celui-ci, à la page où elle était rendu, avant de le remettre sur l’étagère, lentement.
Une petite pression se fit dans sa main, comme si le livre se révoltait, mais il fini par regagner son emplacement habituel.

Des étagères, de la poussière tomba un peu de chaque côté, comme pour remettre au livre rouge la poussière qu’il avait perdu dans les mains de Rose, comme ci s’était une couche protectrice pour le livre et le souvenir qu’il avait à présent des mains qu’y l’avait étreinte.
D’ailleurs, le livre à gauche et de droite se tassa tous les deux pour l’encadrer parfaitement, question de toucher une part du butin.

Froncent à peine les sourcils, Rose sourit à nouveau, d’un air mystérieux cette fois.
Regardent Ardael avec de doux yeux auréolé de cils, elle mit sa main sur la sienne… l’autre sur la hanche de son homme.
Malgré le rapprochement subtile des livres, elle ne leurs portaient plus attention…

Ardael sentit la petit main de rose sur sa hanche et posa son regard dessus... Il sourit. Puis il releva lentement les yeux et ses entre les meche de cheveux qui lui venaient un peu dans les yeux qu'il regarda rose. 'une main il la saisis a la taille. Puis il regarda l'etagere tout en faisant une legere caresse dans la bas du dos de rose. Ayant vu un livre a la couverture etrange, il le prit et le regarda... La couverture lui semblait se fletrir sous ses doigts... Interressant puis il se tourna vers Rose et plantant son regard ambré dans celui changeant de la jeune fille il lui chuchotta :

"Que dirais tu d'aller faire quelques petites lecture dans la reserve ?"

Son ton etait complice mais serieux... Un leger sourire flottait sur ses levres tandis qu'il remettait le livre dans l'etagere.

Avec son manque évident d’homme ces derniers temps…
La réponse qui éclata sous sa peau n’était, de une, pas très subtile, mais de deux, un ne peut plus positive.
Ses yeux papillonnèrent dans un vide un instant, avant de fuir le regard du jeune homme.

«Qu’elle sorte de lecture? »

Demanda-t-elle d’une voix basse, l’air rieuse, mais les yeux remplient de malice.

« Tu sais que la réaction de ces livres indiques beaucoup de chose sur une personne? À les voir réagir à ton touché, je ne suis pas du tout rassuré… »

Continua-t-elle sur le même ton, les yeux toujours fuyant, mais un mince sourire apparaissant sur ses lèvres.
Elle releva à peine les yeux, asser pour qu’il les voie à travers la chute de ses cheveux.

« Peut être que si tu te montrait convainquent… »

L’invitation était claire…
De toutes les pages qu’ils pouvaient avoir entre les deux jeunes gens, il n’y avait plus un souffle de vie, les livres attendaient de voir se qui se passerait, avec une impatience empreinte de crainte.

Ils ne voulaient en aucun cas que la jeune femme parte, et de se fait, voulaient à tout prix que l’autre ne soit pas à la auteur des attentes de la jeune femme.
Ainsi donc, une ambiance oppressante se fit sentir, les étagèrent semblaient plus menaçantes, mais aussi calme, comme un condamné à mort qui accepte son sort…

De la buer sortait apparaissait à chaque respiration de Rose.
Sous ses yeux toujours noisettes, elle surveillait l’expression de son homme avec un petit sourire.

Ardael accepta le defi avec un sourire malicieux... Il fallait la convaincre... Alors on allait bien s'amuser. Tout d'abord, dompter les livres. Il lacha alors rose et prit un livre au hazard dans une etangere. Sa couverture etait de cuir epais et noir et deux arceaux boursoufflés ornaient la reliure. Aucun titre n'etait apparent, ni sur la couverture ni sur la reliure. Le livre tremblait dans sa main. Au vu du sourire d'aradael il pouvait effectivement s'attendre a un peu tout de sa part. Puis le jeune homme posa sa main sur la couverture de cuir et doucement l'epousta comme si le livre etait quelque chose d'extrement precieux, ou quelque chose d'extremement fragile. Le tremblement se mut alors en fremissement. Alors doucement il se posta en face de rose et ouvrit le livre devant elle. A nouveau il passa sa main sur les pages parcheminées qui etaient couvertes d'une ecriture ancienne et sepia. Puis de son index et suivit la couture de l'entre page et le livre s'immobilisa... Il tourna alors la page et posa la paume de sa main a plat sur le livre. Il sourit et releva les yeux vers rose...

"Pose ta main sur le livre, belle damoiselle... et ressent..."

Son sourire malicieux et espiegle en disait long sur l'amusement qu'il eprouvait a ce petit manége.

« Hum… ça s’améliore… »

Il semblait que se n’était pas qu’elle qui pensait ça, le reste de l’assemblé de vieux parchemins suivait le tout avec plus d’énergie positive, mais avec toujours cette constante menace.

La lumière des chandelles faiblissait de plus en plus, sans s’en apercevoir, la noirceur déjà bien installer de l’endroit n’avaient fait que se renforcer, il n’y avait plus aucun bruit dans la bibliothèque et les alentours, tout était calme, à par peut être, les yeux de Rose…

Levant une main dans les airs, sans lâcher les yeux d’Ardael, elle vint effleurer la page qui se présentait à elle du revers de la main.
Les yeux de Rose perdirent leurs noisettes pour tomber dans un vert remplit de corruption…

Elle battit encore des paupières, mais plus lourdement, avant de mettre franchement sa main contre le papier.
Se fut un soupir de soulagement que poussa tous les livres…

« Et maintenant…? »


Elle prit le temps de monter sa main jusqu’en haut du livre, question de le saisir plus facilement, pour le remettre dans l’étagère, quittent quelque seconde son homme du regard.
Sa cape bougea doucement dans son mouvement, alors que de la buer sortait encore et toujours d’entre ses lèvres, et que ses gants verts cachaient gentiment ses mains…

Dans un sourire cacher par l’ombre, elle demanda, dans un chuchotement faussement rempli de reproche.

« Tu ne m’as toujours pas dit qu’elle sorte de lecture on ferait… »

Elle ramena ses yeux à lui, ouvert de curiosité, alors que la jeune femme se mordillait à peine la lèvre inférieure.

Ardael la regarda faire, toute envellopée de sa cape, toute envelloppée de son mystere, replacer le livre dans l'etagere. L'eclairage diminuait la nimbant d'une lueur de plus en plus tamisée et orangée, couleur de flamme mourrante. Il avait "perçut" l'abscence de bruit lui aussi, bien qu'il eut l'impression d'un vague chuchottement qui montait des livres... Comme si les livres se parlaient entre eux... Et c'etait surement le cas d'ailleurs. E meme temps Rose et lui etaient sur leur territoire...

Elle planta son regard dans le sien et posa alors sa question.. Il ne souriait plus. Au contraire son air etait beaucoup plus serieux. Il fit un tout petit pas vers rose... La couleur ambrée de ses yeux semblait briller... Une idée etait dans sa tete c'etait clair... Face a elle, il ne dit rien l'espace de quelques secondes mais ne semblait pas reflechir pour autant... Juste comme s'il voulait prendre le maximum de temps pour repondre, faire planer l'enigme, rendre le sujet plus interressant, moins routinier. Il ouvrit la bouche puis se ravisa, Quelle comedie... Puis il baissa lentement la tete et prit la petite main gantée et lenteement en tirant sur le majeur, il fit glisser l'etoffe verte.

Quand celle ci fut retirée en entier, il la lacha et prenant la main de sa compagne, il lui dit :

"Le professeur de chiromancie nous a dit un jour que on pouvait lire les ligne de la main, que la main etait comme une carte... Et aussi, il nous a dit que la main etait une reduction du corps... Veux tu que nous tentions de faire nos devoirs a deux? et ce... en prenant la grande carte?"

Elle regarda à terre, le coin gauche de sa bouche s’étire un instant, alors que la couleur de ses yeux restait la même.

« Je n’ai aucun refus… »

Les livres étaient de plus en plus conspirateurs, le jeune homme réussissait à leur enlever leur seul lecteur! Pourtant, la jeune femme qui au début leurs avaient semblé si attentionnée envers eut n’avait même plus l’air de se soucier de leurs existence… Elle n’avait d’yeux que pour l’homme, encore et toujours, une jalousie imposante s’apparat des étagères…

« Il faut bien faire ses devoirs tôt ou tard, non? »

Reprit-elle en le regardant, alors qu’elle enlevait, de sa main libre et encore gantée, son capuchon avec lenteur, avant d’avoir un air contrarier sur son visage, et de descendre sa main avec lenteur, comme ci quelque chose la dérangeait.

« Je bien peur d’avoir manquer se cour. »

Elle cligna des yeux une fois, à la fois amusé et hébété… faussement?
S’approcha sans bruit, elle se mit sur la pointe des pieds, pour murmurer à son oreille, alors que ça main gantée avant prit ça hanche.

« C’est dommage… tu vas devoir m’en faire un en accéléré. »

Avança-t-elle, baisant doucement de coup d’Ardael.

Les dernières chandelles encore de se monde se noyaient dans leurs propre cire, alors qu’entre les deux étagères, il n’y avait déjà plus de lumière, mais tout de même beaucoup de vie.
D’ailleurs, à se propos, dans une résignation morbide, les livres décidèrent de se taire, semblant devenu plus vieux et torchon que jamais, même, ça ressemblait beaucoup à la réserve interdite, mais simplement en apparence.
Se qui est sur du moins, ces qu’il n’y avait vraiment plus de lumière… sur?

Un silence quasi religieux regnait dans la piece... De temps en temps on entendait le bruit leger du papier mais rapidement il s'estompait. Puis lentement la lumiere revient... De nouvelles chandelles apparurent magiquement a la place des anciennes. la lumiere revint lentement laissant le temps de faire ce qu'il fallait pour que rien n'apparraisse a la lumiere...

Ardael rajusta le col montant de son sous pull pour cacher les traces. Il avait choisis une noir au cas ou ça coulerait un peu... Puis ramma ce qui était tombé de ses poches, il prit sa baguette et pensa

*sonorus*

le bonheur detre en septieme année c'est de pouvoir faire des non verbaux... ainsi on peut se faire des sortilege de silence a soi meme ce qui est tres gareable dans certaines conditions... Puis il se tourna vers ros et lui prit le menton dans sa main et leger lui baisa le coin des levres...

"... restait un peu de sang ma cherie..."

puis il sourit et l'aida a se relever...