La coupe de cristal s’écrasa sur le mur avec force, des bouts brillants s’éclipsa dans l’air avec rapidité pour tomber sur le sol de marbre alors qu’un autre objet suivait le premier avec autant de force.
Les rideaux rouge sombre, austères, ne se laissaient pas influencer par les bouts qu’ils recevaient. Ceux-ci touchaient à peine le sol malgré leurs apparences lourdes et épaisses, dans le meilleur des cas, la perche de bois couler dans les murs de pierre les retenait avec fermeté.
La pièce, malgré son apparence de salle de réception, était vide et isoler par des fenêtres parcourue de fils d’or et de fer blanc où des rideaux rouge et vert les cachaient presque entièrement derrière leurs velours luisant sous la lumière du lustre.
Celui-ci était retenue aux plafond part des chaînes noircies et étaient décoré avec des grenats incruster dans son corps d’argent, des couronnes de feuilles sculpté dedans le parcourait de toute sa rotondité, descendant avec son spiral habituel, révélant les petites feuilles dorées qui pendant en dessous de chaque un de ces supports à chandelle.
Du sol montait, par contre, des plantes grimpantes, d’un vers sombre où poussaient avec enthousiasme de petite fleurs bleutées, pendant que les racines grimpaient de plus en plus, recouvrant tous les murs jusqu’aux fenêtres hautes perchés.
Une lumière agressante entrait par celles-ci, rougeoyante, faisant briller les joyeux d’une intensité malveillante alors que le marbre rose des murs se voyait plus intense.
Au centre de la pièce, alors que la jeune femme lançait encore des objets sur les murs avec rage, ce trouvait un bassin, au milieux de celui-ci, une statue représentant la mort se penchait sur l’eau, le visage voilé par son éternel capuchon noir, ses ailes d’ange déchue ouverte, certaine plume de travers, semblaient prêtent à prendre flamme.
Une main était tendue comme pour accueillir une autre âme alors que la Fourche était tenue par l’autre, celle-ci avait une lame fait dans de l’argent seulement, la place coupante semblait fait de verre, recouvert sur la pointe, par un Rubis.
Un dernier gobelet frappa la fenêtre quand, finalement, Rose s’assit à terre, la paume de sa main gauche coupée sur sa longueur.
Pausant sa tête contre un amoncellement de plante grimpante, elle ne bougea plus, n’en ressentait pas le besoin, sa paume vers le ciel.
Le sol de marbre blanc parcourut de ligne inégal noir semblait être encore plus luisant dans la lumière rouge, enregistra ses yeux sans le voir.
Son corset avait du mal à faire disparaître sa respiration rapide sous son amas de cuir et de lacet. L’eau frémissait sous le bon vouloir des poissons rouge qui y baignaient, nageant avec aisance, ne se souciant pas des pieds de la jeune femme.
Celle-ci trempa sa main blesser dans le liquide, tout en regardent celui-ci rougir l’air détacher, presque absente. Un long soupir suivit ce geste, levant la tête vers la statue d’un air aviser, elle plissa les yeux, incertaine si le son avait été poussé par elle ou autre chose, tellement elle avait été ailleurs.
Sa jupe noire caressait l’eau du bout de sa douce soie alors que derrière Rose, les débris de verre et de poterie jonchaient le sol comme des cadavres sur un champ de bataille, scintillant entre l’ombre des plantes et la lumière…
