enssembles, ils monterent tout les etages...visiterent chacunes des pieces du batiment. Finalement au bout d un des couloirs du 4ieme etages, ils arriverent devant une porte qui semblait faite de bois d'acajou. Ils essayerent de l ouvrir mais elle semblait scellée...balian etait déçu, il ne voyait pas le temps passer aux cotès de Anaora, il etait bien et il fallait que cette maudite porte soit fermée!
"dommage, j'aurais vraiment voulu voir ce qu il y avait derriere" puis il fit demi tour. Soudain, il entendit Anaora murmurer des phrases incompréhensibles. Puis un flash lumineux l aveugla quelques secondes...il se retourna et vit la porte entre ouverte.
Il s approcha d elle et la remercia
"quelle déxteritée, je suis impressionné" plaisanta t il...
puis il s aventura dans les escaliers, ils grimperent pendant une dizaine de minutes et arriverent devant une vieille porte en bois moisie...
Balian l ouvrit et decouvrit ainsi le toi de la deusieme tour...
c etait magnifique... tellement magnifique que cela lui fit penser a un vieux poeme que lui réscité sa mêre de son vivant...
il serra la main de anaora et commenca le récital a haute voix...
"T en souviens tu? Il y a longtemps je t avais dit que j irais vivre dans le dernier Eden… et je t avais dit que rien ne pourrais me faire revenir…
Mais je m étais trompé…finalement, je n ai pas trouver ce que je cherchais…
Pourtant tu sais d où je viens… les sols pleureurs, et les cerisiers sont toujours en fleurs… l herbe a la couleur des pommes… et le blé la couleur de l’or…
Les pics à bec d ivoire, les paradisiers grands émeraude et les quetzals resplendissants, se posent sur tes épaules et te chantent les plus belles cantiques…
Les léopards des neiges, les pandas et les singes lion viennent te quérir pour des caresses…
Des tulipes d’aime, des pensée de cry, et des étoiles des neiges éclosent à l ombre de tes pas…
Enfin le grand arbre de la vie, fait tomber des pommes pourpres, qui roulent jusqu aux pieds des séquoias géants et des Abricot d’argent…
Des chutes refoulent une eau argentée, de sommets plus hauts encore que le Kilimandjaro…
Sommets qui de leurs brumes cachent, les derniers anges qui restèrent sur cette terre pour profiter une dernière fois de leur cinq sens que leur offrent ce grandiose paysage…
Dans ces contrées ont ne ressens ni la peur, ni la faim, ni le froid, ni la chaleur… ont atteint le nirvana… mais pourtant… une chose me manquait, une chose que je n arrivait pas a trouver là bas… une choses que rien de ce jardin des dieux ne pouvait effacer… c est pour cela que je suis revenu vers toi… pour retrouver l amour… "