Dans se début de matinée l’Angleterre au complet était plongé dans une légère brume, signe que celle-ci reprenait du poil de la bête. Même l’école de sorcellerie ne pouvait y échapper, du haut de la plus haute tour au plus petit gazon, la brume s’insinuait dans tous les coins, endorment la vue et réveillent une excitation toute instinctive.
Dehors, les feuilles s’étaient fraîchement mit à nourrir les petites créatures qui se réveillaient. Dans le parc, tout semblait calme, il n’y avait pas grand signe de vie sinon le son des hiboux que l’on pouvait entendre de la volière.
Si l’on regardait la forêt de haut, la seule chose que vous apercevrez c’est la pointe des branches élevées vers le ciel comme pour implorer un peu de lumière.
À la lisère de la forêt, mit à par les activités suspecte des petites bêtes affamé, un souffle chaud mais calme crevait pendant un instant seulement la brume, pour ensuite charrier une allène peu entreprenante…
Mais soit, au dessus de la brume, dans le ciel, le soleil se levait avec toute la paresse du monde, semblant porter le poids de la voûte céleste sur ses rayons rougeoyant de sommeil. Les nuages, malgré tout, effaçaient toute trace de l’ampoule universel.
Résulta, que du morne et du gris sur cette belle partie de pays…
Mais que voilà une truffe humide de curiosité qui se promenait sur le sol! Et cette langue particulièrement luisante de bave qui venait presque toucher le celui-ci… Ces grandes oreilles toute pointue et aux aguets, ainsi, bien sur, ces grandes pattes gracieuse mais puissantes donc celles d’en avant qui étaient remplie de bracelet en pic…
D’un mouvement du buste, l’animal sortie de la lisière avec un calme étonnant. Dans ces grands yeux vident l’on pouvait voir une noirceur qui rappelait celle d’une inconscience maladive, d’une déconnection partiel avec la réalité.
À son coup, un collier remplie d’œil de poupées, sans doute avait-il un maître un peu cinglé…
Un grognement sorti de la gorge de la bête alors qu’un animal plus petit que lui passait entre ses pattes en courant, semblant se sauver de quelque chose.
Humant l’air tout en reculent son fessier dans la lisière, ses oreilles se redressèrent d’un coup, ainsi que l’avant de son corps.
Il fini par avancer un peu plus dans la cour de récréation, mais à peine, il ne semblait pas vouloir quitter la lisière.
Alors que la lumière avait presque réussit à percer la brume, sur l’épaule du chien, le poil formait un dessin bien particulier. [Voir présentation de Ti Jean]
Son souffle perça encore une fois la brume alors que la curiosité reprenait le dessus, marchant silencieusement vers l’avant, il se mit à sniffer tout ce qu’il pouvait voir, question de d’enregistrer l’odeur.
En bon doberman qu’il était, à l’approche d’une sourie, il se mit à la humer, trouvent soudain l’odeur qui s’en dégageait partiellement intéressante…
En bon chasseur, il se mit à la filer, pour ne pas dire courir après la pauvre petite. Autour de lui, il voyait à peine le paysage défiler dans son champ de vision, seule la sourie comptait. Entre un petit couinement effrayer et un bruit sourd plus tard, il n’y eut plus aucun son.
Entre ses griffes aiguisées, une petite bête s’efforçait de s’échapper de sa prison, malheureusement pour elle, après deux secondes à la renifler, des dents fit taire à jamais ses plaintes.
Dans un craquement d’os brisé, le chien mâchait frénétiquement sa proie, alors que maintenant une partie du corps à terre, il arrachait le haut du rougeur.
Il releva la tête, ne voulant pas perde un bout de son butin, alors que gourmand, il avalait la bête à peine mâchouiller.
Dans la brume, une odeur de sang s’éleva dans l’air.
Relevant la tête, il écouta se qui l’entourait, ensuite il prit le reste de la bête dans sa gueule et se mit à courir…