Bon... Angel tu vien de me faire pensé...

Mais bien sur que si!

La vie est une guerre.
Notre arme ne dépend que de nous.

Poème, texte étrange, histoire morbide, n'importe quoi peut faire une arme mortel quand on sais la magnier!

Dessin comme peinture.

Ta passion peut être ton pire démon comme ton meilleur ami....

Prend la combat par exemple.
C'est un moyen de défence.
Mais aussi une sorte de dance.
Un art.

Tu sais Gwen...
Rose a parfaitement raison...

Moi je trouve que ton problème, mais après c'est un avis personnel, c'est que tu n'ecrit pas de poèmes, tu fais des histoires qui riment. C'est peut etre un peu cru comme façon de le dire mais.... C'est comme ça que je le vois.

Tu n'utilise pas d'images, je veux dire il n'y a aucune métaphore, aucune comparaison, en fait il n'y a pas de figure de style. Tu raconte comme si tu faisais une fable. C'est la toute la difference, du moins à mon avis entre un poeme et un texte en vers...

Sais tu sais ce qu'est la poésie en prose? C'est une poesie ecrite comme un texte normal sauf que il y a tellement d'image que tu ne peux qualifier ça que comme de la poesie.

Je n'ecris pas de poeme... Je ne sais pas en ecrire donc je ne te mettrais pas un exemple de ce dont je parle. Mais je dessine. C'est pourquoi je te dis que ce qui compte c'est l'image. Tu pourras faire un texte aussi compliqué que tu veux, si il est vide, ça ne sera qu'un texte compliqué. Alors qu'un petit texte tout bete mais avec une belle image sera un poeme...

Connais tu les Haiku? Ce sont des petits poemes japonais en 17 syllabes. ça à l'air de rien mais c'est infiniment poetique....

Jardins en fleurs
Premier jour de printemps
Pourtant des feuilles mortes.

C'est très court on aime ou on aime pas mais tu vois ce que je veux dire?
Voila c'est tout ce que j'avais à dire et si tu veux voir de mes dessins il y en a quelques uns dans les poemes de rose ecrits dans "vos fics"

Si tu peux améliorer*. Moi non plus je n'aime pas ce que je fais. Plus je les regarde plus je les trouve atroces. Mais et alors? Ce n'est qu'en se relevant qu'on avance... Je te dit reprends ton thème, et recomence. N'essaie pas de faire pareil. tu n'en serais que deçue. Innove...

au passage... que tu saches... J'ai un Bac L....

Prends un theme plus simple... Tu sais, tout le monde s'est foutu de la gueule de Dumbledore quand il a lancé un concours de poesie sur les tongs... Au final va lire les poeme c'est plutot rigolo...
Un poete (dslé je sais plus son nom) était specialiste de la poesie sur les huitres, les cajots, etc.
Sans tomber dans le aussi vulgaire, trouve toi un theme qui te fais envie... Quel est le premier mot qui te vient à l'esprit la? Bin voila t'as ton thème...

Ardael Smok

Regardez le flâner.
Prendre une bouffée.

Il a l’air sérieux, mais êtes-vous sur qu’il l’est?
Vous n’osez pas trop vous approchez.
L’est trop intimidant.
Trop grand!

Et regardez! Il est même Préfet en Chef, pas d’chance de l’harponner.
Avec cette insigne qui hurle à l’autorité…

Pas de bolle, il jette le reste de la cigarette au sol.
Tout en recrachent sa dernière bouffée.
À tien, une fumée bleutée…

On va bien rigoler…
Mais voilà, vous n’avez pas aser de couille pour foncer.

Il n’a pas l’air de vouloir déconner.
Pourtant, vous voulez savoir se qu’il a fumé.

Mais vous devez foncer avant qu’il ne parte.
Sinon, aussi bien allez se noyer dans le lac!

Hey ho!Mais qu’est-ce qui se passe?
Pourquoi sa peau devient noire et ses yeux jaunes?

Vous sentez le danger… mais eut lieu de vous sauvez…
En fait, c’est se que vous auriez fait, si vous n’étiez pas paralyser!

Dans tous les livres que vous avez lut.
Il n’y a aucun sujet la dessus.

Alors, inconsciemment, vous vous jurez de ne pas toucher aux clopes qui font de la fumée bleue!
Ah! Ça non, ça ne risque pas d’arriver…

Vous retournez à la réalité deux secondes.
Mais il n’est plus là.

Qu’elle choc!

Mais qui est tu donc!?
Ardael Smok!

*applaudit, s'incline*

(si jamais, Ardael, le poète dont tu parles, c'est Ponge, il me semble...)

Il m'a trop fait marrer ce poème quand tu me la montrer en français Rose vraiment t'as du talent là-dedans ^^

Poison

C’est le soir, il est tard et il fait noir.
Dans la maison du mage noir.
Plusieurs jeunes femmes, les yeux bandés, toutes choisies pour leurs beautés, sont assises devant des miroirs.

Elles laissent derrière elles, des souvenirs maudits, des visions de cœurs pourris et des actions remplis de poison.

Dans le reflets des miroirs, rien ne se voit, sinon la promesse d’un échappatoire.
Plus haut, dans un boudoir, dort l’espoir…

Enfermé dans des bocaux, des fleurs se fanent, les pétales sont ensanglantés et les cœurs remplient de méchanceté.

Normal, pour ses âmes bannis, pour ses jours pluvieux où plus personnes ne rient.
Plus de soleil à L’horizon.
Aucun signe de rayon.
Même pas une goutte de passion.

Il n’y a plus de souffle dans se village oublié, dans cette maison noyé dans l’obscurité.
Les Bordels sont fermés, les hommes s’en sont allés vers d’autres occupations.

En se soir de condamnation.
Les cordes de la pendaison, prêtent à recevoir leurs fardeaux, sont enduite de perversion.

Se paysage bercé par une brise de désolation, va enfin avoir sa libération grâce à un poison.
Les derniers habitants sont presser de voir tanguer dans le vide, les corps mort de ses sorcières venues du Nord.

Peste soit de ces Tueuses!
Peste soit de ces Trompeuses!
Peste soit de ces Ensorceleuses!

La mort ne tardera pas, les femmes sortent les yeux arrachés et le visage bandé.
Un râlent de haine, des rires de hyènes, la peine d’une reine.
La joie d’un peuple et la peur des enfants.

Mais pourquoi alors, se manque d’agitation?
Où est donc passé le feu colérique dans le regard de tous ces gens?

Des souvenirs, soudain, un envie de dormir.
Tout le monde se couche.
Plus personne ne respire.
Il n’y a même pas une mouche.
Mais trois sourires.

La passion, les trahisons, un geste pour un peu de pognons, voilà, se qu’est le véritable poison!

Horizon...

Loin de la ville et de ces lois
De se cœur sombre ou règne l’effrois

De se pays ou combien de fois
As-tu été obliger de combattre contre le froid

De cette femme qui te voulais que du mal
De cette grande maison, où habitant l’animal

Pourquoi tu n’es pas revenu après temps d’année?
Est-ce parce que tu es devenue une damnée?

La putain du Street-Has s’est-elle enfin libérée?

Non bien sur.
Sur ses chaînes coulent encore son sang
Qui chaque soir, est le résulta de nombreuse luxures.

Dans ses yeux l’on peu voir son noir destin
Mais est-ce encore le sien?

De son ventre est née une enfant impure.
Serait-ce le signe de sa triste fin?

Cette pluie qui tombe
Ses orages qui grondent!

Que de cette forêt de fée verte sorte la malheureuse qui s’est offerte!
Que son nom tombe dans la disgrâce!
La jolie Théandras!

Son sort en est décidé!
Les dés sont jetés!

Elle mourra au couché du soleil ;
À la prochaine lune!
Avec une lame couler dans le miel ;
Et truffé de Rune!

Meurt!
Fille d’Orion!
Meurt!
Étoile du Démon!

(Ehm… la fin est bizz, j’sais!)

Chaque objet s'enflamme dans mes mains.
Pourtant celles-ci sont froide comme la rosé du matin.

Chaque jour s'écoule comme les larmes sur mon noir chemin.
Chacun de mes pas me reproche de mon destin.
Qu'arrivera-t-il donc se matin?

Je me suis réveillé et je n'ai pas vue la lumière mais la fumée.
Du village où je suis née celle-ci venait avec une odeur de chair brûler.

N'est-ce pas là que l'enfer est venu pour m'emporter?
L'incube a-t-il enfin trouvé comment me transformer?

Mon visage s'est d'un coup embraser de colère alors que mes poumons ne trouvaient plus d'air.

Assoiffé de vie mais morte pour le reste de mes après-midi.
Toutes les personnes qui me voient s’effondrent d'effroi.

Mon visage est brûlé pour le reste de ma vie.
Mes pieds sont restés dans mon lit.
Mes mains ne tiennent plus que part des bouts de chair et par des chaînes enfoncé à même mes os.

Je veux ne plus jamais voir les gens courir.
Les cris me terrifiés alors que c'est à cause de moi que les gens les poussent.
Je n'ai plus d'amour pour la pourriture que je suis.
Je ne vois même plus les fleurs roses de mon enfance de rousse.

Cette odeur me suit jour et nuit.
Je n'ai plus d'envie sinon celle de la chair dans ma bouche...
Femme et enfant son des prises de choix !

Venez hommes fainéants, heureux et fringants!
Venez femme et enfants resplendissent!

Mourrez entre mes mains putrides et saigner sous la morsures de mes dents rongés par la vermines!

Sur la terre se déversera la plus grande invasion de terreur de tous les temps.
Alors que les esprits vengeurs sortent de leurs tombes pour venir se nourrir de chair fraîche et de plaisir enivrants.

Vous tous vivants mourrez pour votre plus grande peur!
Vous tous vivants ne serrez plus que du bétail sans teneur!

C'est mon rêve...

Mais au delà de la vengeance se trouve celui de revoir une autre fois les lueurs du matin.
De sentir une dernière fois l'odeur du pain...
De ressentir une dernière fois le plaisir de ne pas souffrir.

Vraiment super se poème Rose je l'adore^^

[Poème fait pour le concours, sur celui du Fou, mais donc je n'avais pas participé]

Le fou

On dit qu’il est arrivé comme ça
Sans artifice ni joie
Sans foi ni loi

Il portait des bagues de satin.
Il avait l’esprit d’un plaisantin.

Mais il était seul.
Et il adorait les tilleuls…

On en sait peu sur lui sinon que son nom c’est Jermin
Et qu’il a fait un long chemin.
Jermin, justement, courait après les lapins.
Il mangeait les chiens.
Et fréquentait les putins.
S’Inventant des complots remplis de crétins…..

Son esprit était aussi tordu que son nez.
Toujours en train de fouiner.

Il tournait en rond constamment.
Quel innocent.

Pensait-on alors.
Nous qui n’en n’avions que pour notre or.

Surveillant ce fainéant du coin de l’oeil
Alors qu’il dansait d’une drôle de manière sous son Tilleul…

Il aimait s’habiller en femme ou les deux à la fois.
Ça nous a bien fait marré la première foi qu’on a vu ça.

Mais quand on s’est rendu compte que depuis son arrivée.
Plusieurs putins de bon quartier disparaissaient…
Et quand on les retrouvait, éventrées sur une chaussée…
On a commencé à se douter un peu de ce qu’il faisait.
Fou, c’est comme ça qu’on le traitait.

Sa seule compagnie. C’’était lui.
Lui et tout ce qu’il cachait dans les sacs qu’il traînait...

Trop bien, t'es une poète Rose y'a pas a dire !

J'adore celui d'Ardael.
D'ailleurs je les aime bien tes poèmes, sauf celui là, le Fou.

Moi... Je l'entends pas trop chanter.. C'est plutôt une description qui rime.

Mais bon, après c'est peut être parce qu'il me plaît pas ^^

PS: Fait gaffe, parce que des fois tu rajoutes des mots alors qu'y a pas vraiment besoin, ça fait un peu lourd dans tes vers...

C'est l'une des raisons pour lequel je ne l'ai pas mit au concour.

Ses cheveux sont comme de l'argent
Ses yeux ont même le reflet de la lune
Agrippent par mégarde ce qui cause tous ces rallents.
Elle faiblit à cause de son rhume

Pour une jour, ressembler à tous ces cadavres.
Déchets de la société
Rejeter de leurs domaine d'ardoise.
Leurs esprits errant comme des épaves
D'un bâteau qui à trop longtemps navigué
Sur cette terre narquoise.


De ses lèvres d'ébènes ne vient que le gémissement.
Et de son coup, malheureusement
Ne vient plus qu'un flot de sang.

Qu'est-ce donc à dire ma fille?
Toute ces histoires qui te plaient.
Aujourd'hui ressemblent-elles temps grilles que tu t'amusais à faire en les lisants?
Par ta mort jeune fleur
Répondras-tu un jour à mes pleurs?

J'ai longtemps chercher à te connaître
Trop longtemps je n'ai trouver ta chansonette...

Autour du feu tes frères dansent
Célébrant ta mort comme une récompense.

Avec rage ton fantôme prendra les armes.
La colère, je le sais, prend ton âme.

Par leurs larmes d'effrois tu trouveras ta paix.
Car ma fille
Tu es majestueuse comme un dais
Dans ton arme déverse ton embition
Par là tu trouvera ton assension!